Comme toujours avec la RFID, la réponse vient du terrain. C’est en analysant l’environnement et les objets à identifier que le choix entre puces actives ou passives se fait.
Caractéristiques des puces RFID actives
Les étiquettes actives possèdent leur propre source d’alimentation (une pile ou une batterie). Elles ont une antenne intégrée et émettent constamment un signal. De ce fait, elles sont lisibles en permanence … enfin tant que la pile fonctionne.
Plus grandes que les puces RFID passives, elles offrent des distances de lecture plus longues pouvant aller jusqu’à 100 mètres. Elles peuvent prendre en charge des capteurs de température ou d’humidité par exemple.
Elles sont généralement utilisées dans des environnements difficiles pour suivre des équipements mobiles, de grande taille tels que des véhicules.
Caractéristiques des étiquettes RFID passives
Lisibles uniquement lorsqu’elles sont interrogées par un lecteur RFID, les puces passives n’ont pas de batterie.
Généralement moins chères que les puces actives, elles prennent des formes, des dimensions et des couleurs aussi variées que les objets qu’elles identifient. Elles peuvent atteindre la taille d’un grain de riz et supporter des conditions extrêmes.
Couramment utilisées pour la traçabilité des biens de consommation, elles sont également largement répandues dans les entreprises qui cherchent à suivre leur patrimoine mobilier, informatique … Leur courte distance de lecture est même un atout dans ce dernier cas.
Pour avoir une vision fiable du contenu d’une pièce mieux vaut bien gérer sa distance de lecture et éviter de scanner les objets de la pièce d’à côté !