Des inventaires RFID facilités
Contrairement à un code-barres, une puce RFID peut être lue sans contact ni visée. En effet, pour scanner un tag, il suffit que l’onde qu’il renvoie se trouve dans le champ magnétique du lecteur qui l’interroge. Cela signifie que les puces, même dissimulées dans une armoire, sous une machine, ou dans la doublure d’un rideau …, restent lisibles.
Alors qu’avec l’étiquetage traditionnel en codes-barres, les inventoristes doivent pointer le scanner du terminal directement sur l’étiquette pour pouvoir la lire. Cela peut les conduire à devoir déplacer du mobilier pour lire le code-barres placé derrière ou à ramper sous des tables ou encore à monter sur une échelle pour accéder à des vidéos projecteurs fixés au plafond par exemple.
Des cadences d’inventaires multipliées par 4 ou 5
En plus de faciliter le travail des équipes sur le terrain, la RFID offre surtout un autre atout majeur, celui d’accélérer les cadences de recensement. Inutile de chercher les tags, l’information vient à vous toute seule. Il suffit de parcourir une pièce et de la balayer pour scanner son contenu. L’inventoriste peut lire plusieurs dizaines de puces en quelques secondes par une lecture en rafale.
Les cadences sont en générale multipliées par 4, voire 5, selon les environnements. Pour en savoir plus, téléchargez le livre blanc « InventaireRFID, décuplez votre efficacité opérationnelle » .